Pour mener l’expérience, cette équipe de psychologues a procédé au recrutement des participants qui étaient tous des étudiants de cette université américaine. L’équipe a donc recruté 35 jeunes filles et 16 garçons qui étaient tous en couple. Au début de l’expérience, les participants avaient rempli un questionnaire demandant des informations sur la relation du couple notamment sur le domaine physique et émotionnel.Par la suite, l’équipe a demandé aux couples de faire des dessins. Pour ce travail, l’un des couples devrait faire le dessin les yeux bandés tout en étant guidé par l’autre.

Ces tests de quelques minutes auraient permis aux observateurs d’évaluer, par le visionnage des vidéos enregistrées, la probabilité d’infidélité de l’un des couples ou également des avances qu’il aurait faites à d’autres personnes.

Les psychologues ont également évoqué l’existence d’une concordance significative et modérée entre l’avis des observateurs sur la possibilité d’infidélité et l’effectivité de l’infidélité en cohérence avec les propos renseignés par les participants dans le questionnaire.

Par la suite, une deuxième expérience sur la psychologie sur la fidélité a été réalisée avec d’autres étudiants. Pour cette expérience, les observateurs ont pu noter le taux d’engagement et de confiance qu’ils captaient au sein du couple.

Par ailleurs des informations qui ont été diffusés dans la revue Personal relationships indiquent la nécessité de la réalisation d’une étude sur le langage non verbal et le comportement de la personne pour analyser les relations d’un couple.