Fuite de sujet du bac

Lundi dernier, les autorités policières du pays ont été alertées par la diffusion d’un sujet du bac sur le réseau twitter. Après le buzz sur le sujet, la jeune fille auteur de la fuite s’est dénoncée de son propre gré à la police, dans un commissariat situé dans la banlieue de la capitale française le mardi 17 juin au matin. Et selon les forces de l’ordre travaillant sur la lutte contre la cybercriminalité dans la brigade nationale de Rosny-sous-Bois dans la Seine-Saint-Denis,, la jeune fille n’avait pas le choix étant donné que son identité a été dévoilée par des personnes qui l’ont connu sur le réseau. Après avoir répondu aux questions des policiers ainsi que des gendarmes qui se sont chargés de l’affaire, la jeune fille a été relâchée.

Fuite de sujet du bac

Si l’on se réfère à la loi du 23 décembre 1901, si cette jeune fille sera reconnu coupable de l’incident à l’issue de l’enquête, elle pourrait courir une peine de 3 ans d’emprisonnement avec le paiement d’une amende pouvant atteindre 9 000 euros étant donné que l’acte commis est interdit s’il est effectué durant la première heure de l’examen.

Et si l’on revient au fait, les tweets contenant des sujets du bac publiés la jeune fille ont été repéré par un journaliste du quotidien le « Monde ». Le premier tweet avait diffusé le thème et le second a publié les sujets de philosophies pour les séries L et ES. Par ailleurs, l’autre auteur qui avait publié d’autres sujets a tout de suite supprimé son compte par peur d’être reconnu à son tour.

Par ailleurs, le ministre de tutelle a indiqué que même si d’autres sujets étaient également prêts à être diffusés, les auteurs n’auront plus le courage de le faire après la saisie de ces premiers incidents. De plus le ministre a tenu à confirmer que la situation est actuellement maitrisée. Par ailleurs, le ministre a tenu à rassurer les candidats et les parents que cet incident n’aura pas d’impact sur l’examen comme l’annulation de l’épreuve concernée étant donné qu’à l’heure de la publication du tweet (à 08H31), la majorité des candidats étaient déjà en salle pour réaliser l’examen.

Affaire à suivre.